En découvrant les livres d’Equinox, de plus en plus,je comprends le pourquoi du départ d’Aurélien Masson de Gallimard. Du moins au niveau édition, il aurait été impossible de faire cette collection dans son ancien boulot c’est à dire chez ……………………………………, j’entends rien QUOI ?
Il fallait un nouveau départ pour ce genre de livres qui sortent de l’ordinaire. Au départ pas grand fan des couvertures, je commence à m’y faire.
Alors dans le style ovni littéraire après l’excellent Requiem pour Miranda de Sylvain Kermici, voilà un autre auteur qui, dans la même lignée, sort un livre dérangeant, sur la forme surtout, le fond étant aussi macabre qu’un croque mort ne puisse l’espérer.
Livre pour public averti, déconcertant par la forme et le fond. Les pages se succèdent, les personnages aussi, les histoires, des histoires, et d’un coup éclat de soleil dans la tête, on pose livre sonné, ding dong, et c’est pas le facteur. Ou bien un facteur X que détient l’auteur au nom imprononçable.
Bref j’ai pris mon pied, les deux, même si j’avoue avoir eu grand mal à situer où on allait, pauvre lecteur que je suis. L’auteur doit être fou comme deux ânes, mais putain il est excellent ….chuttttttttttt
Maintenant que je vois ce bandeau sur la couverture, je vois mieux.
NE LAISSEZ PAS CET AUTEUR ÉCRIRE DES HISTOIRES D AMOUR PUTAIN !!
Une histoire d’A. composée de tueries, de sang, comme un western mélangeant le gore, la beauté du paysage, la fatigue par le soleil, et les coyotes qui bouffent les cadavres. Tout cela pour finir en une éjaculation mâtinée de sang, car le livre est court mais intense mais raide et rêche comme l’écriture, ou comme un vieux fion. Oups…..
Yes, dégueu, gore, mais beau, comme cette chro.
Bon panard !
Le Boss.